Quel titre débile ! C'est juste pour que vous deviniez où j'étais ce mercredi 18/06/09. Si vous avez suivi assidument le blog du GRSC, je ne vous apprendrais rien en vous disant qu'ils ont travaillé d'arrache-pied sur le site dans une fissure ouverte dans le flanc nord de la doline., à quelues mètres de la perte irrémédiablement colmatée et où des générations de spéléos ont tenté leur chance
Fin mai, à force de percutages, tirs et surtout d'huile de bras, vu que tout déblais doivent être systématiquement évacué à la surface, ils avaient atteint le sommet d'un puits. L'espoir de filer vers l'aval du réseau de Beauregard était grand mais fut de courte de durée. Le sommet élargi, le puits étroit et corrodé ne leur offrit même pas une dizaine de mètres de premières.
C'est au pied de celui-ci (légèrement arrosé) que je me suis retrouvé, vers -15, à partager avec PDu le peu d'espace vitale pour examiner plus en détails les possibilités de ce teminus, au nombre de trois.
Nous attaquons par le souffleur. Le gros bloc qui le défend est réduit en miettes mais le résultat confirme malheureusement qu'il s'agit d'un amont et qu'il est imprénétrable. Le second est une amorce de boyau horizontal colmaté par une épaisse couche de glaise emprisonnant des galets. Sans une équipe pour éliminer les matériaux dans la foulée en faisant la chaine jusqu'à l'entrée, inutile de s'y mettre. Reste au sol le soupirail qui pourrait être l'aval. L'entrée élargie, nous pourrons y glisser le corps sur tout notre long mais la position est très inconfortable. Avant de décider quoi que ce soit, il faudra éliminer le tas de cailloux débités vers la surface.
Content d'avoir enfin vu ce chantier et d'avoir retiré ma petite pierre à l'édifice...
TPST : 3 heures
Fin mai, à force de percutages, tirs et surtout d'huile de bras, vu que tout déblais doivent être systématiquement évacué à la surface, ils avaient atteint le sommet d'un puits. L'espoir de filer vers l'aval du réseau de Beauregard était grand mais fut de courte de durée. Le sommet élargi, le puits étroit et corrodé ne leur offrit même pas une dizaine de mètres de premières.
C'est au pied de celui-ci (légèrement arrosé) que je me suis retrouvé, vers -15, à partager avec PDu le peu d'espace vitale pour examiner plus en détails les possibilités de ce teminus, au nombre de trois.
Nous attaquons par le souffleur. Le gros bloc qui le défend est réduit en miettes mais le résultat confirme malheureusement qu'il s'agit d'un amont et qu'il est imprénétrable. Le second est une amorce de boyau horizontal colmaté par une épaisse couche de glaise emprisonnant des galets. Sans une équipe pour éliminer les matériaux dans la foulée en faisant la chaine jusqu'à l'entrée, inutile de s'y mettre. Reste au sol le soupirail qui pourrait être l'aval. L'entrée élargie, nous pourrons y glisser le corps sur tout notre long mais la position est très inconfortable. Avant de décider quoi que ce soit, il faudra éliminer le tas de cailloux débités vers la surface.
Content d'avoir enfin vu ce chantier et d'avoir retiré ma petite pierre à l'édifice...
TPST : 3 heures